À Charles Spon, le 20 mars 1654
Note [5]
V. note [26], lettre 342, pour les Tragiques d’Agrippa d’Aubigné, titre qui s’impose ici, au lieu de Tragédies qu’on lit dans Reveillé-Parise avec cette note navrante :
« Est-ce par curiosité de bibliophile, est-ce par goût particulier que Guy Patin demande avec tant d’insistance des tragédies d’un auteur bien peu connu dans ce genre ? »