À André Falconet, le 10 avril 1654
Note [5]
« que vous avez en moi un débiteur qui n’est pas oublieux de tous les présents qu’il a reçus. Quant aux affaires politiques, je n’en dirai rien d’autre que : “ qui vous savez ” [Mazarin] règne et triomphe ». Guy Patin recourait au grec pour protéger sa lettre contre les indiscrétions toujours possibles de la censure royale.
V. note [25], lettre 345, pour le commentaire de Monantheuil « sur le Serment d’Hippocrate », resté inédit.