À André Falconet, le 28 avril 1654
Note [3]
« qui procurent une faiblesse des intestins à presque tous les provinciaux, comme nos anciens l’ont observé depuis longtemps déjà. » La pollution microbienne de l’eau et des aliments est toujours responsable de la « diarrhée des voyageurs », connue sous le nom de turista en Amérique centrale.