À Charles Spon, le 22 décembre 1654
Note [10]
« et serviteur de l’envie d’autrui », Valère Maxime (Faits et dits mémorables, livre iv, chapitre v, ext. 1), à propos d’un jeune homme nommé Spurina dont l’extrême beauté rendait les maris jaloux :
oris decorem vulneribus confudit deformitatemque sanctitatis suæ fidem quam formam inritamentum alienæ libidinis esse maluit. [il détruisit toute la grâce de son visage par des mutilations et préféra cette laideur qui attestait la pureté de ses mœurs à une beauté capable d’exciter l’envie d’autrui].