« et fait sortir de ses bronches quantité de matières visqueuses et gluantes qui, si elles y subsistaient et y étaient arrêtés trop longtemps, seraient la cause d’un charbon destructeur ».
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 22 décembre 1654, note 11.