À Charles Spon, le 22 décembre 1654
Note [19]
V. notes [18], lettre 371, pour Louis Le Bon, doyen de la Faculté de médecine de Valence, et [3], lettre 106, pour Gaspard Froment, professeur de droit civil en la même Université.
Le verbe gouverner, c’est-à-dire instruire et élever, est ici surprenant pour un homme que Guy Patin disait être bien plus âgé que lui. Il a fait suivre ce mot d’un appel de note explicative [˙/.], mais qui ne renvoie à rien sur le manuscrit. Le plus probable est que Froment avait régenté Patin au Collège de Boncourt, et non l’inverse.