À Charles Spon, le 26 janvier 1655
Note [7]
Guy Patin allait évoquer de nouveau la procédure engagée para Marie Vincent. Épouse d’Étienne Seignoret, beau-frère de Charles Spon (v. note [1], lettre 280) ; elle venait alors plaider à Paris où elle tomba malade. V. note [21], lettre 413, pour l’heureux dénouement de son procès.