À Charles Spon, le 21 avril 1655
Note [18]
« mais ces choses n’apportent rien à l’exercice de notre art. »
V. note [74], lettre 332, pour l’Hortus regius Blesensis [Jardin royal de Blois] d’Abel Brunier, médecin du duc d’Orléans (Paris, 1653 et 1655).