À Charles Spon, le 13 juillet 1655
Note [25]
Par « ses changes », Guy Patin entendait les affaires (échanges) du libraire lyonnais Jean-Baptiste Devenet, qu’il sollicitait ici pour éditer les œuvres complètes de Thomas Lieber, dit Éraste, projet qui avait jusque-là échoué (v. note [8], lettre 358).