À Charles Spon, le 17 août 1655

Note [13]

« dont le long drapé couvre leurs pieds qui divaguent » ; Ovide (Tristes, livre ii, élégie 1, vers 247‑248) :

este procul, vittæ tenues, insigne pudoris,
quæque tegis medios instita longa pedes !

[Arrière rubans, {a} marques de la pudeur, et toi, long drapé qui couvres jusqu’à mi-pied !]. {b}


  1. Les vittæ étaient les rubans que les Romaines appartenant à la classe libre employaient pour nouer leurs cheveux.

  2. Reprise par Ovide de ses propres vers 31‑32, livre i, de L’Art d’aimer.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 17 août 1655, note 13.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0411&cln=13

(Consulté le 25/04/2024)

Licence Creative Commons "Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.