À Charles Spon, le 5 octobre 1655
Note [16]
En termes contemporains, Guy Patin pronostiquait que son collègue serait bientôt victime soit d’un accident artériel cérébral (apoplexie), soit d’un œdème aigu du poumon ou d’une poussée d’insuffisance respiratoire aiguë d’autre nature (catarrhe suffocant).