À Charles Spon, le 5 octobre 1655
Note [18]
« le résultat m’a profondément déçu, je n’ai rien trouvé d’autre que des charbons pour un trésor [v. note [12], lettre 54] ». Guy Patin espérait bien sûr que le libraire lyonnais Marc-Antoine Ravaud lui renvoyait enfin ses manuscrits des Chrestomathies de Caspar Hofmann, que nul n’avait accepté jusque-là de publier.