Robert Patin, l’aîné de Guy, était alors son seul fils habilité à pratiquer la médecine (ici en remplacement de son père).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Nicolas Belin, le 8 octobre 1655, note 11.