À Nicolas Belin, le 8 octobre 1655
Note [5]
« Il y a trois créatures extrêmement menteuses : loyolites, botanistes et chimistes [v. note [18], lettre 363] ; s’il est permis d’en ajouter une à ces trois gredineries, que ce soit celle des libraires, car je ne connais pas d’animal plus menteur qu’eux. »