À la fin de sa lettre, Guy Patin a rectifié la fausse nouvelle de la mort du prince Thomas, l’un des principaux fauteurs des Pâques piémontaises (v. note [11], lettre 403).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 19 octobre 1655, note 38.