À Charles Spon, le 19 octobre 1655
Note [56]
Guy Patin se complaisait de nouveau à accuser son collègue François Guénault d’avoir empoisonné presque toute sa famille avec l’antimoine : son épouse, son neveu Pierre Guénault (v. note [6], lettre 97), sa troisième fille, Catherine Gamare, et son gendre, l’avocat Jean (ou Antoine) Guérin, époux de sa fille aînée.