À Charles Spon, le 22 février 1656
Note [7]
« mais il n’a pas mis assez de prudence à s’occuper de ses affaires, et pas eu toute la prévoyance requise pour sa propre sécurité. »
Les deux vers français qui suivent sont les deux derniers de la Satire iii de Mathurin Régnier (v. note [23] du Borboniana 10 manuscrit). On en trouve l’équivalent latin, Magis magnos clericos non sunt magis magnos sapientes [Les plus grands clercs ne sont pas les plus grands sages], dans Rabelais (Gargantua, chapitre xxxix) et Montaigne (Essais, livre i, chapitre xxiv, Du Pédantisme).