Dans la région parisienne, le seul temple autorisé par l’édit de Nantes était alors celui de Charenton ; v. note [5], lettre 424, pour le traité Westminster signé le 3 novembre 1655.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 3 mars 1656, note 22.