« et qu’à la fin il est mort de cette podagre supprimée. »
V. note [2], lettre 86, pour Pierre Chanet, auteur de Considérations sur la Sagesse de Charron… (Paris, 1643).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 3 mars 1656, note 7.