À Hugues II de Salins, le 3 mars 1656
Note [12]
« La veine jugulaire externe est à saigner abondamment et sans crainte, en cas d’aphonie [perte plus ou moins complète de la voix (Littré DLF)], d’apoplexie, de léthargie ; dans les maux de tête invétérés et dans la frénésie ».
La saignée de la veine jugulaire comme celle de l’artère carotide sont tombées dans l’oubli, mais la jugulaire externe demeure un abord courant pour les perfusions intraveineuses.