« par l’intempérie trop chaude du foie qui liquéfie et transforme le sang en une sérosité âcre : c’est pourquoi une telle maladie impose la saignée et à la boisson froide. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 12 juin 1656, note 11.