À André Falconet, le 6 octobre 1656
Note [4]
« Est-il vrai que l’âme survive au corps enfermé dans le tombeau, ou n’est-ce qu’une fable, vain sujet de terreur pour des esprits timides ? » : deux premiers vers (372‑373) du chœur qui achève l’acte ii des Troyennes de Sénèque le Jeune, qui était l’oncle de Lucain.
V. note [29] du Borboniana 6 manuscrit pour l’intégralité de ces vers vivement opposés à l’idée que l’âme soit immortelle.