À Hugues II de Salins, le 31 octobre 1656
Note [10]
« qui est le meilleur auteur de médecine qui ait vécu avant Galien ».
Au début de 1661, Johannes Antonides Vander Linden abandonna son projet de donner une édition d’Arétée (v. note [3], lettre 407), quand il eut compris que Pierre Petit s’était attelé à la même tâche et avait pris de l’avance sur lui car il disposait à Paris de meilleures sources et de plus solides appuis que lui-même à Leyde. Néanmoins, l’ouvrage de Petit ne parut qu’incomplètement et longtemps après sa mort (Londres, 1726, v. note [3], lettre 731).
V. note [20], lettre de Charles Spon, le 28 août 1657, pour l’édition de Celse par le même Vander Linden (Leyde, 1657).