« autant de sa maladie que de ce poison. » V. note [2], lettre 461, pour une précédente évocation de la mort de Laure Mancini, duchesse de Mercœur, en termes fort similaires.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, les 16 et 26 février 1657, note 11.