Tous ces médecins (dont aucun n’a été docteur de Paris) n’ont pas laissé d’autre trace que leurs thèses, dont Guy Patin était si friand.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 23 février 1657, note 4.