À Hugues II de Salins, le 9 mars 1657
Note [3]
« provient d’un esprit flatulent enfermé dans les artères, et dans les espaces vides des muscles et des membranes ; la cause d’un si important symptôme est double, intempérie très chaude et afflux de liquide séreux. » Guy Patin n’avait pas admis la circulation de William Harvey et continuait à croire les artères vides de sang, mais emplies d’un « esprit aérien » (d’où vient d’ailleurs le mot artère).
V. note [4], lettre de Hugues ii de Salins, datée du 3 mars 1657, pour la goutte crampe.