À Charles Spon, le 27 mars 1657
Note [16]
« il a un faciès d’allure tout à fait hippocratique. »
Le faciès hippocratique est en médecine une « face profondément altérée et qui annonce une mort prochaine ; ainsi dite, parce qu’Hippocrate en a donné une description dans son Pronostic » (Littré DLF). « Il a toujours le visage maigre, les yeux enfoncés et languissants, ce qu’on appelle un visage hippocratique » (Trévoux).