À Charles Spon, le 4 avril 1657
Note [3]
« ce qui est rare pour ces hommes-là. » Le départ précipité du président Jacques-Auguste ii de Thou pour la Hollande s’expliquait par les traités d’alliance qui se concluaient alors, d’un côté, entre les Provinces-Unies et l’Espagne, et de l’autre, entre la France et l’Angleterre.