« et contre l’espérance de tous, elle mourut suffoquée aussitôt » (v. note [3], lettre 228, pour la « crise » médicale, ici fatale).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 mai 1657, note 5.