Guy Patin ne se lassait pas d’évoquer ces deux mésalliances fort décriées :
- en 1650, contre le gré de Mme d’Aiguillon, celle d’Armand-Jean de Vignerod du Plessis, duc de Richelieu, avec Anne Poussart de Pons de Miossans, veuve de François-Alexandre d’Albret, sieur de Pons et comte de Marennes (v. note [12], lettre 214) ;
- en 1652, celle de Jean-Baptiste Amador de Vignerod, marquis de Richelieu, avec Anne-Jeanne Baptiste de Beauvais, fille de Mme de Beauvais (Catherine-Henriette Bellier), dite la Catau (v. note [15], lettre 363).
V. note [14], lettre 214, pour leur frère benjamin, Emmanuel-Joseph, abbé de Richelieu.