À Charles Spon, le 19 septembre 1657

Note [14]

« je perçois votre pensée et comprends parfaitement ce que vous voudriez » (reconstitution incertaine pour et quod en raison d’un effacement partiel du manuscrit). Dans sa lettre du 11 septembre, Charles Spon avait demandé à Guy Patin de ne tenir aucun compte de la lettre de recommandation que le sieur de Mondragon, chirurgien de Lyon, lui avait demandé d’écrire en sa faveur. La « bonne voisine » dont Spon avait annoncé la visite prochaine à Patin n’était autre que Marie, son épouse.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 19 septembre 1657, note 14.

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(Consulté le 19/04/2024)

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