À Claude II Belin, le 15 octobre 1657
Note [7]
« qui promet la même chose ; d’où la vérité de ce que Salomon a dit, qu’“ écrire des livres est un travail sans fin ” [L’Ecclésiaste, v. note [13], lettre 283]. »
V. notes :
Pour les éditions en cours ou en projet de Celse (De Re medica), Guy Patin répétait ici à Claude ii Belin ce que Charles Spon lui avait écrit dans sa lettre datée du 28 août précédent (note [20]).