À Hugues II de Salins, le 15 novembre 1657
Note [27]
« Pour le camphre dans l’épilepsie, ce n’est que pure menterie, ce n’est ni fait ni à faire. »
Camphre {a} (Thomas Corneille) :
« gomme résineuse qui distille d’un arbre {b} extrêmement haut et large. Cet arbre croît aux Indes dans les montagnes maritimes et dans l’île de Bornéo […] Il est excellent pour résister aux venins et à la pourriture, et même pour corriger l’air en temps de peste. Il est aussi diurétique, céphalique et stomachique lorsqu’on le mêle avec d’autres médicaments légèrement astringents. […] Quelques-uns tiennent que l’huile de camphre tirée par distillation a une faculté narcotique. »
- Mot d’origine arabe, cafur.
- Camphrier.