À Charles Spon, le 9 avril 1658
Note [42]
« Il est tout empreint de grec, de péripatétisme, de Galien, de Scaliger » : il s’agit de Pierre Petit, auteur de l’Epicedium à Gabriel Naudé (v. note [17], lettre 325), mais il ne figure ni dans la liste des docteurs de Montpellier (Dulieu), ni dans celle de Paris (Baron).