« la saignée de la veine saphène [v. note [22], lettre 544] est en effet un remède particulier, qui ne peut désengorger les grands vaisseaux ».
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 24 mai 1658, note 15.