À Hugues II de Salins, le 24 mai 1658
Note [17]
« gardez-vous de ces prétendus remèdes cardiaques, qu’on dit faussement être sudorifiques, qui mettent tout en désordre, et qui ajoutent à la fièvre et à l’intempérie, évacuent le sang, dissolvent les forces, etc. »