À Charles Spon, le 5 juillet 1658
Note [22]
V. note [6], lettre 119, pour les Annales ecclésiastiques du cardinal Baronius. La transcription de Reveillé-Parise est ici douteuse car Guy Patin a précédemment parlé des critiques qu’en avait publiées David Blondel (Genève, 1641, v. note [19], lettre 146) ; il ne se rappelait pourtant que de celles d’Isaac Casaubon (Londres, 1614 et Genève, 1654, v. notes [18], lettre 318, et [12], lettre 406). Ces deux auteurs étaient calvinistes, mais on ignore que Charles Spon en avait récemment écrit à Patin : probablement lui annonçait-il le projet lyonnais d’éditer un abrégé du Baronius (paru en 1660, v. note [1], lettre 592).