À Charles Spon, le 5 juillet 1658

Note [3]

Expression que Guy Patin a employée plusieurs fois, pour dire que le voyageur pressé passe devant les églises sans y assister à la messe (dont le milieu célèbre l’offrande) : il ne pénètre jamais au fond des choses et des gens qu’il croise.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 5 juillet 1658, note 3.

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(Consulté le 18/04/2024)

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