À Charles Spon, le 16 juillet 1658
Note [13]
« À quoi donc ces prières seront-elles bonnes si les décisions de Dieu sont immuables ? Cette prophétie est donc en quelque façon vraie : “ Cesse d’espérer infléchir les oracles des dieux par tes prières ” [Virgile v. note [13], lettre 530]. »