Guy Patin médisait ici sans détour, employant fils pour petit-neveu du cardinal de Richelieu (v. note [36], lettre 487).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 16 juillet 1658, note 17.