À Charles Spon, le 6 septembre 1658
Note [12]
« de ce poison antimonial.
“ Pourquoi s’étonner, roi Louis, que tu aies survécu au poison que tu as bu ? Les prières valent mieux que l’antimoine : ce qui soigne hors de la règle est l’œuvre du ciel et non de l’art, et sans la protection de Dieu, tu aurais pu en mourir. Cette médecine aurait certes été funeste pour tes sujets ordinaires, mais les poisons vifs ne font aucun mal aux dieux qui ont été bénis. ” »V. note [8], lettre 539, pour quelques autres vers sur le même sujet.