À Charles Spon, le 24 septembre 1658
Note [27]
« et qu’il s’occupe donc de ses affaires, et s’en aille au diable. Ces Turbons et vauriens enflammés sont déplaisants. »
Turbon est le nom d’un homme dont parle Horace (Sermons, livre ii, 311) en demandant : qui ridiculus minus illo ? [qui est moins ridicule que lui ?].