À Charles Spon, le 11 octobre 1658
Note [7]
« Ce vaurien pratique une médecine qui l’enrichit et croit que tout lui est dû, par tous les moyens, honnêtes comme malhonnêtes, tant son esprit est emporté par la philargyrie. {a} “ Les chiens rêvent de pain, et les pêcheurs de poissons ” ; {b} en vérité, cet homme trouve bon tout ce qui lui procure pièces d’or et d’argent. »