À Charles Spon, le 25 octobre 1658
Note [4]
« Patin a parlé peu exactement de ce démêlé », dit Bayle, ajoutant (note H sur Girac) :
« Qui ne croirait, en vertu de ces paroles, que Voiture avait fait une querelle à Balzac et que Girac se rendit le protecteur du dernier contre le premier ? Cela est très faux. Voiture n’intenta aucun procès à Balzac : ce fut Balzac qui, après la mort de Voiture, critiqua le fameux sonnet d’Uranie ; mais cette critique ne fut point le sujet de la querelle de Costar et Girac. Si Guy Patin ne savait pas mieux les autres nouvelles de la république des lettres que celle-ci, malheur à qui s’y fie. »