À Hugues II de Salins, le 29 octobre 1658
Note [10]
« étant donné que, par le vent de la nouveauté, qui plaît tant aux malades misérables et ignorants, ils peuvent leurrer et abuser quiconque pour faire fortune, honnêtement, ou sinon par quelque moyen que ce soit [Horace, v. note [20], lettre 181]. »