« jusqu’à ce que le malade ait été rendu exsangue. » Les médecins ne disposaient pas que de l’antimoine pour tuer les gens…
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 29 octobre 1658, note 23.