À Hugues II de Salins, le 29 octobre 1658
Note [29]
« Pour préserver une santé solide, le souper doit être le plus sobre des repas, et le déjeuner le plus riche. Pour que la nuit soit douce, que le souper soit bref. Voyez le livre v des Institutions d’Hofmann, {a} qui est entièrement consacré à la diététique et débordant de tout genre de doctrine. »
- V. supra note [15].