À André Falconet, le 3 janvier 1659
Note [7]
« Les rois redoutés de leurs propres peuples, les rois eux-mêmes sont soumis à Jupiter, à l’illustre dompteur des géants qui, d’un battement de sourcil, ébranle toutes choses » (Horace, Odes, livre iii, i, vers 5‑8).