À André Falconet, le 31 janvier 1659
Note [13]
« advienne que pourra ! » Guy Patin indiquait ici comment on se rendait alors le plus commodément de Lyon à Paris : d’abord de Lyon à Roanne par le grand chemin, puis de Roanne à Orléans en bateau (coche d’eau) sur la Loire, et enfin d’Orléans à Paris par la route. Un autre itinéraire remontait la Saône jusqu’à Chalon (v. note [12], lettre 630).