À Hugues II de Salins, le 18 avril 1659
Note [6]
« que les Grecs appellent alors amébées ». « On appelle un poème amébée, des vers amébées, lorsqu’il s’y fait une espèce de dispute ou de combat entre deux interlocuteurs, de manière que celui qui parle le dernier enchérisse toujours sur l’autre et s’oppose à son sentiment » (Trévoux). La racine de l’adjectif latin amœbæus, « alterné », est grecque : αμοιβαιος, « qui se répond ».